Aurenges M.
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Quelle catastrophe. Nous avons amené notre chat, Sven, pour une urgence. Après 45min d’attente dans une salle vide, on nous le prend des mains sans pouvoir lui dire au revoir. Il est mort le lendemain. Dans les bras du veto, ou de son assistante, ou tout seul, ça dépend de la version qu’on nous a donné. Comment nous l’avons su ? En appelant pour avoir des nouvelles le lendemain midi. Il était mort à 9h. Suite à ce passage catastrophique notre veto a appelé pour en savoir plus sur cette mauvaise expérience. Quelques heures après son appel nous recevons un message sur notre messagerie « vous n’avez pas compris ». Visiblement nous ne sommes pas très intelligents donc la veto au téléphone nous t’explique qu’elle nous appelle une semaine après pour qu’on ait eu le temps de digéré le décès. Elle comptait nous appeler avant nous dit elle. C’est fou parce que avant, elle n’était pas au courant de notre mécontentement. On nous prend pour des gens pas intelligent une première fois. Elle maintient avoir appellé pour nous prévenir du décès mais que nous avions pas eu l’appel. Quand je demande si elle a laissé un message elle dit que oui, puis non, puis oui, puis que c’était pas le bon numéro enfin bref, elle n’a aucun tort c’est notre faute. Pour justifier le fait que nous n’ayons pas pu dire au revoir à notre chat son excuse étant, sans gêne : c’était une urgence absolue. Après 45min à attendre seul notre chat n’avait donc pas 30 secondes devant lui pour un dernier bisou selon la vétérinaire. Nous demandons à voir notre chat décédé : « il faut d’abord payer la facture monsieur, 900 euros. ». À quoi correspondent les 900 euros ? Aucune idée mais faut payer pour voir le chat alors on paye. On demande la cage dans laquelle il a été amené : on sait pas où elle est. Nous avons reçu un mail quand ils l’ont retrouvé avec des excuses hypocrites. Bien évidement, aucun geste commercial, aucunes excuses sincères, que du blabla. Ils ont eu leur pognon donc après tout…